7. è fermamente convinto dell'indubitabilità del fatto che le atrocità commesse dall'ISIS/Daesh rientrano nella definizione giuridica di genocidio enunciata agli articoli 2 e 3 della Convenzione per la prevenzione e
la repressione del crimine di genocidio e all'articolo 6 dello Statuto di Roma della Corte penale internazionale; sottolinea che si definisce genocidio qualunque atto compiuto con l'intento di distruggere, in tutto o in parte, un gruppo nazionale, etnico, razziale o religioso; mette in risalto che la distruzione solamente parziale di un gruppo sulla base della sua nazionalità, appartenenza etnica o religione costituisce alt
...[+++]resì genocidio; evidenzia ulteriormente che, a norma delle suddette disposizioni giuridiche, gli atti di genocidio non devono necessariamente causare la morte di membri del gruppo, in quanto devono considerarsi tali anche l'inflizione di gravi lesioni corporali o psicologiche – anche mediante traumi, tortura, stupro, violenza sessuale e mutilazione – nonché il rapimento dei bambini, qualora tali atti siano commessi nel quadro di una politica di annientamento di un gruppo; sottolinea infine che anche la mera cospirazione, l'incitamento diretto e pubblico, i tentativi di commettere genocidio e la complicità in esso equivalgono al crimine di genocidio prima ancora che abbiano inizio gli stermini; 7. se dit fermement convaincu que les atrocités commises par l'EIIL/Daech relèvent indubitablement de la défi
nition juridique du génocide visée aux articles II et III de la convention sur la prévention
et la répression du crime de génocide et à l'article 6 du Statut de Rome de la Cour pénale internationale; rappelle que le génocide équivaut à tout acte commis dans l'intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux; souligne que la destruction d'une partie seulement d'un groupe en raison
...[+++]de sa nationalité, de son appartenance ethnique ou de sa religion équivaut également à un acte de génocide; souligne par ailleurs qu'en vertu de ces dispositions juridiques, les actes de génocide ne doivent pas nécessairement provoquer la mort d'un membre d'un groupe, étant donné que l'atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale, dont le traumatisme, la torture, le viol, les violences sexuelles ou la mutilation, ainsi que le transfert d'enfants sont également considérés comme des actes de génocide lorsqu'ils sont commis dans le cadre d'une politique de destruction de l'existence d'un groupe; souligne enfin que la simple entente en vue de commettre le génocide, l'incitation directe et publique à commettre le génocide, la tentative de génocide et la complicité dans le génocide équivalent également au crime de génocide avant même que les massacres n'aient commencé;