In qualità di paese che detiene la Presidenza del Consiglio UE, nella nostra dichiarazione del 18 marzo abbiamo condannato con la massima fermezza i nuovi arresti e maltrattamenti a cui sono stati sottoposti membri dell’opposizione il 17 e il 18 marzo, nonché il divieto di espatrio imposto a due esponenti dell’opposizione, gravemente ferite negli scontri dell’11 marzo, che volevano sottoporsi a cure mediche in Sudafrica.
Dans notre fonction de pays en charge de la présidence du Conseil de l’UE, nous avons condamné, dans les termes les plus forts possibles, dans notre déclaration du 18 mars, les nouvelles arrestations et les mauvais traitements infligés aux membres de l’opposition les 17 et 18 mars, de même que la mise en place d’une interdiction de quitter le pays à l’encontre de deux femmes, membres de l’opposition, gravement blessées lors des attaques du 11 mars et qui souhaitaient subir des examens médicaux en Afrique du Sud.