Ne consegue che il giudice del rinvio potrà porsi concretamente il problema solo dopo avere accertato non solo che gli studenti siano parte della famiglia dei lavoratori frontalieri, ma altresì che siano a carico di questi ultimi, per il fatto che gli stessi continuano a provvedere al loro mantenimento, verificando inoltre se tali studenti beneficino nel loro paese, effettivamente o potenzialmente, di una misura comparabile a quella introdotta con la legge del 26 luglio 2010.
Il s'ensuit que le juge national pourra concrètement se poser le problème, uniquement s'il établit non seulement que les étudiants font partie du ménage des travailleurs frontaliers mais aussi que ces derniers les gardent à leur charge en continuant à pourvoir à leur entretien, en vérifiant également si ces étudiants bénéficient, actuellement ou potentiellement, dans leur pays de résidence, d'une mesure comparable à celle mise en œuvre par la loi luxembourgeoise du 26 juillet 2010.