En effet, selon M. Jääskinen, la liberté contractuelle doit être respectée en ce sens que l’employé peut accepter de pratiquer une langue propre à son environnement de travail, différente de la sienne et de celle usitée localement, surtout s’il s’agit d’une relation de travail s’inscrivant dans un contexte international.
According to Advocate General Jääskinen, contractual freedom must be respected in that the employee may agree to use a language specific to his working environment which is different from his own and from that used locally, especially where the employment relationship takes place in an international context.