(B) considerando che, secondo le autorità greche, gli esuberi sono imputabili alla diminuzione del reddito disponibile delle famiglie, dovuta all'aumento della pressione fiscale, alla diminuzione dei salari (sia nel settore pubblico sia in quello privato) e all'aumento della disoccupazione, che ha causato un crollo del potere d'acquisto; che la drastica riduzione del credito alle imprese e ai singoli cittadini a causa della mancanza di liquidità delle banche greche è connessa alla crisi economica e, di conseguenza, la Grecia ha diritto a un contributo finanziario a titolo del FEG;
(B) Les autorités grecques font valoir que les licenciements sont dus à la baisse du revenu disponible des ménages – imputable à l’augmentation de la charge fiscale, à la baisse des salaires (tant dans le secteur public que dans le secteur privé) et à la hausse du chômage –, avec pour conséquence une forte chute du pouvoir d’achat, ainsi qu'à la réduction drastique des prêts accordés aux entreprises et aux particuliers en raison du manque de trésorerie dans les banques grecques, imputable à la crise économique, et le fait que la Grèce a donc droit à une contribution du FEM.