Anche per via della sempre più intensa crisi economica, energetica, dei trasporti stradali, aerei e marittimi, nonché del dissesto ecologico, ecco che il grande capitale privato, intuendo le potenzialità delle ferrovie in termini di risparmio energetico ed economico e quindi intravedendo ulteriori guadagni, rivolge le proprie attenzioni ai trasporti ferroviari e tenta di penetrarvi “su un piede di parità”, anche se in realtà a condizioni del tutto impari a spese delle aziende ferroviarie di Stato.
En pleine récession touchant l’économie, l’énergie, les transports routier, aérien et maritime et le secteur de l’environnement, les grandes multinationales ont compris que le chemin de fer représentait une véritable manne en termes d’économie d’énergie et de réduction des coûts - et donc de profits - et ont donc braqué leur attention sur le transport ferroviaire en tentant de jouer sur celui-ci un rôle d’égal à égal avec les compagnies ferroviaires nationalisées, bien que, pratiquement parlant, cette égalité n’existe pas.