Ma, nonostante in tutti gli Stati membri dell’UE e in Croazia siano in vigore norme che permettono di perseguire penalmente gli autori di MGF, nel quadro di disposizioni di diritto penale generali o specifiche, i casi concreti di perseguimento sono molto rari a causa della difficoltà di scoprire il reato e di raccogliere prove sufficienti, della riluttanza a denunciarlo e, soprattutto, della mancanza di conoscenze sulle mutilazioni genitali femminili.
Mais bien que tous les États membres de l'UE et la Croatie se soient dotés de dispositions juridiques permettant de poursuivre les auteurs de ces pratiques, au titre du droit pénal général ou de législations spécifiques en matière pénale, les poursuites sont très rares, en raison des difficultés à détecter les infractions et à recueillir des preuves suffisantes, des réticences à dénoncer ces pratiques, et surtout d'un manque de connaissances concernant les mutilations génitales féminines.