Nella sua valutazione d’impatto, la Commissione afferma che numerose ricerche hanno dimostrato che la fatica conseguente al lavoro aumenta in rapporto al numero delle ore lavorate e che "una durata del lavoro superiore alle 50 ore a lungo termine può avere effetti nocivi sulla salute e la sicurezza dei lavoratori" (pag. 21). La Commissione conclude dicendo che si può quindi presumere che la situazione sarebbe migliore senza il ricorso all’opt-out (pag. 24).
La Commission, dans son évaluation d'impact, fait valoir que "de nombreuses recherches ont montré que la fatigue due au travail est augmentée par le nombre d'heures de travail" et arrive à la conclusion "qu'une durée de travail supérieure à 50 heures peut, à la longue, avoir des effets nuisibles sur la santé et la sécurité des travailleurs" (page 21). La Commission termine en affirmant que "la situation serait meilleure sans l'opt-out" (page 24).