Nella vicenda controversa si tratterebbe, quindi, di una mera proroga concessa dal creditore, poiché di regola il certificato di godimento concederebbe, segnatamente nel corso del suo decorso, un diritto a posticipare il versamento negli anni successivi.
Selon la République d’Autriche, il s’agit donc en l’espèce d’un simple rééchelonnement par le créancier, en ce que le titre confère notamment au cours de sa durée un droit à un paiement de régularisation dans les années ultérieures.