Oggi – aggiungo – i problemi da affrontare con priorità sono questi: la carenza, per non dire l’assenza, di camere di isolamento a pressione negativa nei centri ospedalieri principali degli Stati dell’Unione europea, necessarie per evitare il contagio nosocomiale; l’impossibilità di trattenere in quarantena un paziente altamente sospetto che rifiutasse l’isolamento, poiché non esistono leggi
che ne impongano il ricovero coatto, se non per le malattie mentali; sarebbe opportuno cominciare a pensare alla formazione, all’istituzione di équipe sanitarie nazionali specializzate a trattare malattie come la SARS, che non possono essere tratta
...[+++]te con terapie specifiche ma solo con terapie di supporto e che necessitano dell’intervento di molti specialisti – pneumologi, virologi, anestesisti, rianimatori, internisti, dietologi – e di personale infermieristico idoneo alla gestione e all’assistenza dei pazienti affetti da SARS.J’ajouterai qu’aujourd’hui, les problèmes à résoudre en priorité sont les suivants: l’insuffisance, pour ne pas dire l’absence, dans les principaux centres hospitaliers des États de l’Union européenne, de chambres d’isolement à pression négative nécessaires pour éviter la contagion nosocomiale; l’impossibilité de maintenir en quarantaine un patient hautement suspect qui refuserait l’isolement, puisqu’il n’existe pas de lois qui imposent l’hos
pitalisation forcée, sauf pour les maladies mentales; il serait opportun de commencer à réfléchir à la formation et à la création d’équipes sanitaires nationales spécialisées dans le traitement des
...[+++] personnes atteint de maladies comme le SRAS, qui ne peuvent être traitées par des thérapies spécifiques mais seulement par des thérapies de soutien, et qui nécessitent l’intervention de nombreux spécialistes - pneumologues, virologues, anesthésistes, réanimateurs, spécialistes de médecine interne, diététiciens - et de personnel infirmier à même de gérer et de soigner les patients atteints du SRAS.